Cadence
Entre la voix de l’homme et la voix du poète
Joue l’écho attendu d’une voix féminine
Qui saisit au passage la sombre vie d’un autre
Tortueux, torturé et peu soucieux de lui
D'après ce qu'il en dit
Ses mots sont des ellipses, des images complexes
Où il faut démêler la troublante folie
D’une polyphonie où les tons se rassemblent
Ses mots m’attirent comme un aimant
Brûlant soleil sur le désert de sable
Qui m’embrase à tout va
En plein cœur de l’automne
Pas de cacophonie ni de son coutumier
Symphonie érudite
Où les voix se dissemblent
Et s’assemblent
Musicale évidence où l’harmonie s’invente
Dans mon jardin d’été, la porte est toujours là
Elle se tient bleue et familière
Au pied du lit telle un possible
J’y colle mes désirs, je barbouille mon mur
Pour y laisser mes traces
Signes particuliers où vos pieds se faufilent
Joue l’écho attendu d’une voix féminine
Qui saisit au passage la sombre vie d’un autre
Tortueux, torturé et peu soucieux de lui
D'après ce qu'il en dit
Ses mots sont des ellipses, des images complexes
Où il faut démêler la troublante folie
D’une polyphonie où les tons se rassemblent
Ses mots m’attirent comme un aimant
Brûlant soleil sur le désert de sable
Qui m’embrase à tout va
En plein cœur de l’automne
Pas de cacophonie ni de son coutumier
Symphonie érudite
Où les voix se dissemblent
Et s’assemblent
Musicale évidence où l’harmonie s’invente
Dans mon jardin d’été, la porte est toujours là
Elle se tient bleue et familière
Au pied du lit telle un possible
J’y colle mes désirs, je barbouille mon mur
Pour y laisser mes traces
Signes particuliers où vos pieds se faufilent
novembre 2013
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