Le poids du souvenir
Devant ma porte ouverte s’étalent mes secrets
Sortis de leurs placards, livrés à tes regards
J’ai balancé la clé pour ne plus m’encombrer
D’un carcan trop serré qui bridaient mes idées
M’offrir à ton hasard
Au gré de ton regard
Secrets si bien gardés
Qu’’ils en perdent saveur
Et beauté de l’amour
Dans un terreau stérile
Qui ne sait conserver
Que le goût de l’amer
Secrets trop bien enfouis
Pour être retrouvés
Dans leur intégrité
Leur spontanéité
Le temps des larmes t’appartient
Pendant que je m’attarde
A détacher mes liens
Glisse le temps sur ma fenêtre
Sans voiles ni barreaux
Sans aucun artifice
Pour le défigurer
Le secret enfle
Et sort de mes poumons
Pour s’enivrer d’un air
Troublant de vérité
Un palpable possible
S’agrippe à mes idées
Je me souviens d’un jour
Où le présent était
Je me souviens de toi
Au cœur de la lumière
Qui embrasait mes pas
A chaque nouveau songe
Où je me fabriquais
Des flopées de mensonges
C’est vrai je me souviens
Qu’il y avait autre chose
Entre cour et jardin
S’épanouissait ma rose
Qui semait un parfum
Dans sa métamorphose
Secrétait ses mystères
Pour ne pas se flétrir
Entre deux mauvais mots
Inventés pour la cause
Sortis de leurs placards, livrés à tes regards
J’ai balancé la clé pour ne plus m’encombrer
D’un carcan trop serré qui bridaient mes idées
M’offrir à ton hasard
Au gré de ton regard
Secrets si bien gardés
Qu’’ils en perdent saveur
Et beauté de l’amour
Dans un terreau stérile
Qui ne sait conserver
Que le goût de l’amer
Secrets trop bien enfouis
Pour être retrouvés
Dans leur intégrité
Leur spontanéité
Le temps des larmes t’appartient
Pendant que je m’attarde
A détacher mes liens
Glisse le temps sur ma fenêtre
Sans voiles ni barreaux
Sans aucun artifice
Pour le défigurer
Le secret enfle
Et sort de mes poumons
Pour s’enivrer d’un air
Troublant de vérité
Un palpable possible
S’agrippe à mes idées
Je me souviens d’un jour
Où le présent était
Je me souviens de toi
Au cœur de la lumière
Qui embrasait mes pas
A chaque nouveau songe
Où je me fabriquais
Des flopées de mensonges
C’est vrai je me souviens
Qu’il y avait autre chose
Entre cour et jardin
S’épanouissait ma rose
Qui semait un parfum
Dans sa métamorphose
Secrétait ses mystères
Pour ne pas se flétrir
Entre deux mauvais mots
Inventés pour la cause
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