Réplique au poète
Multitude irisée au fond de ton kaléidoscope
Tu perçois et mon œil reçoit
Tu sais, celui qui nous permet de voir
Celui de l’intérieur lorsque la porte s’ouvre sur nos désirs d’enfant
Mon ruban dénoué fait glisser mes cheveux
Tu soulèves une mèche qui dissimule encore
Des fragments de mon corps
Et ton regard s’attarde sur le repas dressé aiguisant l’appétit
La table nous attend pour des agapes folles
Le festin est pour nous et nous irons gourmands
Jusqu’à croquer le fruit posé sur le gâteau
Le menu est ainsi, s’accorde à mon esprit
Merci d’être toi dans ce que je ne suis pas
Merci de m’accorder la vision de ton être
Nos âmes s’entremêlent au plus près de la terre
Là, sur le sol où nos prenons racine et dispersons nos graines
Pour mieux sentir les ailes nous pousser
Et prendre notre envol, le verger consommé
Tu perçois et mon œil reçoit
Tu sais, celui qui nous permet de voir
Celui de l’intérieur lorsque la porte s’ouvre sur nos désirs d’enfant
Mon ruban dénoué fait glisser mes cheveux
Tu soulèves une mèche qui dissimule encore
Des fragments de mon corps
Et ton regard s’attarde sur le repas dressé aiguisant l’appétit
La table nous attend pour des agapes folles
Le festin est pour nous et nous irons gourmands
Jusqu’à croquer le fruit posé sur le gâteau
Le menu est ainsi, s’accorde à mon esprit
Merci d’être toi dans ce que je ne suis pas
Merci de m’accorder la vision de ton être
Nos âmes s’entremêlent au plus près de la terre
Là, sur le sol où nos prenons racine et dispersons nos graines
Pour mieux sentir les ailes nous pousser
Et prendre notre envol, le verger consommé
décembre 2013
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