Identité
Ce soir, vidons nos verres à la santé d’un absolu
Qui taquine nos rimes devenues trop parfaites
Et s’égare à tout va dans un semblant de rêve
Tour à tour, aiguisons nos poèmes
Sur le fil de la vie, tendu au plus haut point
Dieu s’effiloche et notre terre avec
Chantons, dansons
Créons un phénomène où nos prières s’entendent
S’ancrent et se rabibochent
Il nous faut un appui
Une roche solide, rompue à toute épreuve
Tu es, tu redeviens
Tu viens alors je suis
Je suis, le temps d’une ineptie
Je vois mes congénères sur le bord de mes vers
Je ne sais que penser, j’allume la lumière
Dieu est une invention, une enveloppe éphémère
Née de nos illusions et nos désillusions
Nées de la terre que nous butons sans cesse
A chaque pas dans l’univers
Chacun s’approprie son blasphème
Sa thèse, son antithèse
Et les œillères qui vont avec
Je me regarde et je vois l’animal
S’acharnant sur ses propres vestiges
Je vais ronger mon frein jusqu’à l’aube suprême
mars 2014
Qui taquine nos rimes devenues trop parfaites
Et s’égare à tout va dans un semblant de rêve
Tour à tour, aiguisons nos poèmes
Sur le fil de la vie, tendu au plus haut point
Dieu s’effiloche et notre terre avec
Chantons, dansons
Créons un phénomène où nos prières s’entendent
S’ancrent et se rabibochent
Il nous faut un appui
Une roche solide, rompue à toute épreuve
Tu es, tu redeviens
Tu viens alors je suis
Je suis, le temps d’une ineptie
Je vois mes congénères sur le bord de mes vers
Je ne sais que penser, j’allume la lumière
Dieu est une invention, une enveloppe éphémère
Née de nos illusions et nos désillusions
Nées de la terre que nous butons sans cesse
A chaque pas dans l’univers
Chacun s’approprie son blasphème
Sa thèse, son antithèse
Et les œillères qui vont avec
Je me regarde et je vois l’animal
S’acharnant sur ses propres vestiges
Je vais ronger mon frein jusqu’à l’aube suprême
mars 2014
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