Sans titre

Je m’accorde ce temps qui me devient si cher
Je me mets à rêver plutôt que de penser
Je choisis d’oublier le sérieux quotidien
Pour ne plus rechercher
Le pourquoi du comment
Je crois apercevoir entre mes yeux mi-clos
Ta fine silhouette tout au fond du couloir
Bien sûr, je fais semblant d'y croire

Prélever un moment du temps qui est le tien

octobre 2014


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