Le corps à nu

Une ombre passagère dans l’instant accordé
Savoir démêler le vrai de l’irréalité
L’élan pris sur le vif dévoile sans montrer
Il faudrait pour cela déchiffrer la mouvance
Du jour qui s’accumule sur la vitre entrouverte
Un nuage passe
Dans le silence et dans un souffle
Le voile s’évapore
Le clair-obscur s’installe
Demi-teinte du geste
Vois-tu, le corps à nu
C’est tout ce qu’il me reste


mai 2015



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