Pastel

Le ciel a déposé ses ombres
Sur la ville endormie
Le jour avait laissé 
Des lambeaux de pastel
Où le soleil couchant
Avait pu s’attarder
Avant de décliner
Vers le sombre horizon
La ville était sereine
Et déversait ses rêves
Dans les profondes eaux
Des canaux apaisés
Aucune ride à la surface
Aucun souffle de vent
Rien que le lent courant
De la vie qui s’accomplit


avril 2015


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