Libre comme l'air

Happé par le silence, mon esprit vagabonde
Pour gravir les étages qui mènent jusqu’au ciel
Bleu d’azur plein les yeux
Envolée de cheveux
Dans la brise légère qui rafraîchit la terre
Souffle de vie
Chaque nuage qui passe contient son pesant de larmes
Mais aucun ne s’arrête
Dans la douceur humide de mon regard
Pleurer ne sert à rien
L’été assèche les tristesses
Le ciel absorbe le trop plein
Les sentiments amers ne serviront à rien
Suivre la ligne claire tendue vers l’avenir
J’y vois tant de promesses
Je rejoins l’horizon dans un bruissement d’ailes
J'imagine un moment qui n'aurait pas de fin
Où tant de mes espoirs seraient enfin permis
Où est ma liberté
Où commence le rêve ?

juin 2015


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