Un jour peut-être
Le silence des mots
A suspendu le temps
J’ai perdu cet écho
Qui venait jusqu’à moi
Signifier ta présence
Le vide crée l’absence
J’ai glané çà et là
Des bribes de soleil
Pour ne pas prendre froid
Les jours de solitude
J’ai honoré la vie
Magnifié ses couleurs
Pour conserver en moi
Des moments de douceur
L’horizon est si pâle
Que je ne sais encore
Ce que j’y trouverai
Garder au fond des yeux
La teinte d’un espoir
Pour ne pas renoncer
Et pour anéantir
Un envol d’idées noires
Aux ailes de corbeaux
Sous un ciel orageux
Je peins la vie en bleu
Pour accueillir tes mots
Qui peut être viendront
S’accorder à ma prose
Lorsque ta pensée
Aura rejoint la mienne
Août 2015
A suspendu le temps
J’ai perdu cet écho
Qui venait jusqu’à moi
Signifier ta présence
Le vide crée l’absence
J’ai glané çà et là
Des bribes de soleil
Pour ne pas prendre froid
Les jours de solitude
J’ai honoré la vie
Magnifié ses couleurs
Pour conserver en moi
Des moments de douceur
L’horizon est si pâle
Que je ne sais encore
Ce que j’y trouverai
Garder au fond des yeux
La teinte d’un espoir
Pour ne pas renoncer
Et pour anéantir
Un envol d’idées noires
Aux ailes de corbeaux
Sous un ciel orageux
Je peins la vie en bleu
Pour accueillir tes mots
Qui peut être viendront
S’accorder à ma prose
Lorsque ta pensée
Aura rejoint la mienne
Août 2015
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