Multitude

Du silence à l’absence
Il n’y avait qu’un pas
Le jardin renaissait
Entre la mousse sombre
Laissée par les frimas
J’y errais solitaire
Effleurant de mes doigts
Le blanc de l’hellébore
Je guettais attentive
Les signes d’un retour
La fleur du cerisier
Le rose des beaux jours
Du silence à l’absence
Il n’y avait qu’un pas
Mais le sol se fendait
Pour laisser apparaître
La trace du printemps
La terre fourmillait
J’étais loin d’être seule
Le monde m’entourait


mars 2016


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