Beau temps

Si tu regardes bien là où tu mets les pieds
Tu trouveras le coin de nature accordée
Tu vois j’avais pris soin de ne pas avancer
Sans connaître l’endroit où j’allais m’arrêter
Il a suffi de rose et pourpre veloutés
Une toile champêtre aux accents printaniers
Où s’invitaient gaiment des herbes élancées
Pourquoi aller ailleurs quand le monde est si beau
Je vais enfin pouvoir retirer mon manteau

mai 2016


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