La valse du temps
Au terme d’une année, les saisons ont valsé. Tourbillons insensés, la tête me tournait. Mes pensées chronophages éreintaient ma patience. J’ai détourné le vent, asséché mon esprit, dévidé ma conscience tandis que l’hirondelle rejoignait le printemps. Le soleil était bleu et le ciel orangé. La terre était le ventre où je me réfugiais.
Tandis qu’entre mes doigts j’égrenais ta présence.
janvier 2017
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