Unité

Les nuits nous rapprochaient
Inévitablement
Les nuits nous réclamaient
Irrésistiblement
Nos mots s’évaporaient
Rejoignaient le silence
Plus besoin de parler
Quand nos mains s’exprimaient
Au plus près de nos sens
Nos corps étaient complices
En ne faisant plus qu’un
Les nuits nous unissaient
Indissociablement
Jusqu’au petit matin
Quand nos mains s’égaraient
Jusqu’à la délivrance
Et ma peau retenait
L’odeur de ton parfum


mars 2017



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