Azur
Dans l’entre-deux du jour
Je comble quelques vides
Ouvre une parenthèse
Je comble quelques vides
Ouvre une parenthèse
Une ombre se dessine
Silhouette inventée
Je suis à sa portée
Je suis à l’embrasure
Des possibilités
Une courbe alanguie
A peine révélée
S’élance sur la toile
J’entends battre des ailes
Le murmure éloquent
D’une veine commune
Un geste personnel
Comme une signature
Un nom
Une intention
Je rêve d’une abeille
Sur la soie d’un pétale
D’un son sous le soleil
Qui m’entraîne et m’imprègne
D’un semblant d’idéal
Je rêve
Du bourdon de la vie
De pollen sur mes doigts
D’un moment arrêté
Dans la faille du temps
Où tout devient permis
Silhouette inventée
Je suis à sa portée
Je suis à l’embrasure
Des possibilités
Une courbe alanguie
A peine révélée
S’élance sur la toile
J’entends battre des ailes
Le murmure éloquent
D’une veine commune
Un geste personnel
Comme une signature
Un nom
Une intention
Je rêve d’une abeille
Sur la soie d’un pétale
D’un son sous le soleil
Qui m’entraîne et m’imprègne
D’un semblant d’idéal
Je rêve
Du bourdon de la vie
De pollen sur mes doigts
D’un moment arrêté
Dans la faille du temps
Où tout devient permis
Commentaires
Enregistrer un commentaire