En résumé ...

Le vent passe et me laisse
A plat sur le chantier
Qui n’a rien du jardin
Où grandit le pommier
Plus rien ne m’intéresse
Je divague un peu plus
Inonde le papier
Mes larmes sont un lac
Aux reflets familiers
Je délave le bleu
Dilue un sentiment
Réinvente l’azur
En pressant mon chagrin
Une goutte est tombée
Tout en délicatesse
Aussi belle, aussi pure
Qu’au tout premier matin
Mes larmes sont un lac
Où tu viens te baigner
Lorsque je pense à toi
J’aime les pluies d’été

avril 2017


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