Désaffection
Mon paysage a disparu entre deux rebellions
Piétiné par tes vers submergés de colère
Nettoyage de printemps, exit mon univers
Tes montagnes arides ont repris le dessus
Et tes mots me distancent matin après matin
J’ouvre les yeux car ton rêve s’achève
Me laissant à la traîne
Il fallait s’y attendre, rares sont les amis
Fidèles et attentifs
Et mon amour se désagrège, chagrin après chagrin
J’avale ma tendresse et les mots se disloquent
Sous mon palais désert devenu sans saveur
J’écoute sans rien dire, le silence effronté de tes pas
Sans savoir d’où il vient, tu te caches trop bien
Mon escalier s’écroule comme un château de cartes
J’essaie tant bien que mal de m’accrocher à la rambarde
Quelle rambarde ? Il n’y a plus rien
Sauf l’ombre de ton destin au milieu de nulle part
Comment y parvenir, tu as brouillé les pistes …
J’avais mis à germer des idées fortes
Sur ta page endeuillée, sans charme ni tendresse
Je te parle de paix, tu me renvoies ta guerre
Que faire, qu’imaginer de plus dans le rien que tu m’offres ?
Bonne guerre, mon ami
Je rejoins mon jardin privé de ta présence
Mon palais est en miettes et j’attends ta sentence
mars 2014
Piétiné par tes vers submergés de colère
Nettoyage de printemps, exit mon univers
Tes montagnes arides ont repris le dessus
Et tes mots me distancent matin après matin
J’ouvre les yeux car ton rêve s’achève
Me laissant à la traîne
Il fallait s’y attendre, rares sont les amis
Fidèles et attentifs
Et mon amour se désagrège, chagrin après chagrin
J’avale ma tendresse et les mots se disloquent
Sous mon palais désert devenu sans saveur
J’écoute sans rien dire, le silence effronté de tes pas
Sans savoir d’où il vient, tu te caches trop bien
Mon escalier s’écroule comme un château de cartes
J’essaie tant bien que mal de m’accrocher à la rambarde
Quelle rambarde ? Il n’y a plus rien
Sauf l’ombre de ton destin au milieu de nulle part
Comment y parvenir, tu as brouillé les pistes …
J’avais mis à germer des idées fortes
Sur ta page endeuillée, sans charme ni tendresse
Je te parle de paix, tu me renvoies ta guerre
Que faire, qu’imaginer de plus dans le rien que tu m’offres ?
Bonne guerre, mon ami
Je rejoins mon jardin privé de ta présence
Mon palais est en miettes et j’attends ta sentence
mars 2014
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