Dédicace
Triste temps
Les murs me regardaient
Par leurs fenêtres écloses
Sans volets ni paupières
Elles pleuraient à flots
Des larmes orageuses
Le ciel était à tordre
Les murs me regardaient
Par leurs fenêtres écloses
Sans volets ni paupières
Elles pleuraient à flots
Des larmes orageuses
Le ciel était à tordre
Et le vent s’immisçait
Dans le moindre intervalle
Oublié par la pierre
Un vent venu du port
Un air venu du nord
Un souffle de grand large
Dans le moindre intervalle
Oublié par la pierre
Un vent venu du port
Un air venu du nord
Un souffle de grand large
Et les rêves s’envolent
La vitre dégouline
Des parfums s’y attachent
Elaborent une histoire
Amsterdam
Les yeux vers la lumière
Recherche l’éclaircie
Pour éloigner les ombres
Qui projettent le gris
Une aventure, un scénario
Derrière chaque carreau
Ça palpite et respire
Allure de vieille dame
Apparence, apparence
La jeunesse frémit
Chaque goutte de pluie
Révèle à l’infini
Un cœur, une âme
Un élan vers la vie
Amsterdam
La vitre dégouline
Des parfums s’y attachent
Elaborent une histoire
Amsterdam
Les yeux vers la lumière
Recherche l’éclaircie
Pour éloigner les ombres
Qui projettent le gris
Une aventure, un scénario
Derrière chaque carreau
Ça palpite et respire
Allure de vieille dame
Apparence, apparence
La jeunesse frémit
Chaque goutte de pluie
Révèle à l’infini
Un cœur, une âme
Un élan vers la vie
Amsterdam
Mars 2015
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