A la marge des sentiments
Je m’accapare ce temps
Qui n’appartient qu’aux autres
Pour pallier le silence
A l’insondable absence
Je ne suis rien que moi
Je suis sans conséquence
Sans aucune incidence
La brèche était ouverte
Je me suis engouffrée
Passionnée que j’étais
A vouloir tout donner
Le corps et l’âme
Les bruits du cœur
Qui vont avec
Des bras se sont ouverts
Je ne l’ai pas voulu
Je n’ai rien demandé
Je fus
Là où l’on m’emmena
Confiante et convaincue
D’être ce que j’étais
D’offrir ce que j’avais
Je n’ai rien décidé
Je n’ai rien consacré
Pas fait de plan sur la comète
Un peu rêvé peut-être
Un peu aimé sans doute
A la marge des sentiments
Je caresse et j’effleure
Le bon côté des choses
Je ne m’empare de rien
Car rien ne m’appartient
Je prends tout simplement
Le peu qui m’est offert
Et c’est déjà beaucoup
Pour affronter l’hiver
novembre 2014
Qui n’appartient qu’aux autres
Pour pallier le silence
A l’insondable absence
Je ne suis rien que moi
Je suis sans conséquence
Sans aucune incidence
La brèche était ouverte
Je me suis engouffrée
Passionnée que j’étais
A vouloir tout donner
Le corps et l’âme
Les bruits du cœur
Qui vont avec
Des bras se sont ouverts
Je ne l’ai pas voulu
Je n’ai rien demandé
Je fus
Là où l’on m’emmena
Confiante et convaincue
D’être ce que j’étais
D’offrir ce que j’avais
Je n’ai rien décidé
Je n’ai rien consacré
Pas fait de plan sur la comète
Un peu rêvé peut-être
Un peu aimé sans doute
A la marge des sentiments
Je caresse et j’effleure
Le bon côté des choses
Je ne m’empare de rien
Car rien ne m’appartient
Je prends tout simplement
Le peu qui m’est offert
Et c’est déjà beaucoup
Pour affronter l’hiver
novembre 2014
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