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Un déshabillé rouge
Derrière la vitrine
La femme qui le porte
Fait des signes aux passants
Un clin d’œil avenant
Un sourire éloquent
La ruelle est étroite
On ne peut s’y croiser
C’est un sombre couloir
Amassant les odeurs
Et mêlant les sueurs
Des corps enlacés
Dans la brièveté
Ni amour ni passion
Rien qu’une tension
Aiguë et passagère
Dans les regards croisés
Le plaisir de la chair
Le désir d’être deux
Pour tuer la solitude
Qui laisse sur la langue
Le goût de l’amertume
avril 2015
Derrière la vitrine
La femme qui le porte
Fait des signes aux passants
Un clin d’œil avenant
Un sourire éloquent
La ruelle est étroite
On ne peut s’y croiser
C’est un sombre couloir
Amassant les odeurs
Et mêlant les sueurs
Des corps enlacés
Dans la brièveté
Ni amour ni passion
Rien qu’une tension
Aiguë et passagère
Dans les regards croisés
Le plaisir de la chair
Le désir d’être deux
Pour tuer la solitude
Qui laisse sur la langue
Le goût de l’amertume
avril 2015
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