Perplexité matinale


Réveil incontournable dans le petit matin
Qui égrène dés l’aube son chapelet de secondes
En extraire la saveur et l’odeur
Et cesser d’en découdre telle une Pénélope
Dont les doigts sont usés
A force de rêver à l’autre qui n’est plus
Jour et nuit s’entremêlent
Sur l’écheveau d’une vie qui perpétue
Le souvenir du disparu
Au fil du temps qui passe
Nébuleuse mémoire, labyrinthe improbable
Où les pensées s’affolent et se dispersent
En manque d’oxygène, j’ouvre la porte
N’importe laquelle

Août 2013




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