L'odeur du printemps
Silence dans le jardin un soir de février
A force de maudire l’hiver
La nature se réveille à peine endormie
Je n’avais pas le temps d’attendre
J’ai pris le raccourci, de l’automne au printemps
Négligeant la poésie des flocons
Pas envie d’avoir froid
Sous mes tropiques épistolaires
Qui saupoudrent l’hiver
De teintes douces et apaisées
Je connais un poète, heureux de s’émouvoir
Sur la pousse fragile à peine sortie de terre
Infime connivence au cœur de nos tempêtes
L’amante reviendra rêver tout contre vous
Sa chaleur palpitante à portée de la main
Et l’objet turbulent de vos désirs farouches
Trouvera sa substance sur le blanc de vos draps
Je connais un poète, heureux de forniquer
Pour se sentir vivant et conscient d’exister
Brutale résistance au cœur de nos dilemmes
L'amant se fout des convenances
Sa ferveur insolente divisant les esprits
Et l'objet fascinant de vos plaisirs charnels
Trouvera l'éloquence sur le blanc de vos pages
A force de maudire l’hiver
La nature se réveille à peine endormie
Je n’avais pas le temps d’attendre
J’ai pris le raccourci, de l’automne au printemps
Négligeant la poésie des flocons
Pas envie d’avoir froid
Sous mes tropiques épistolaires
Qui saupoudrent l’hiver
De teintes douces et apaisées
Je connais un poète, heureux de s’émouvoir
Sur la pousse fragile à peine sortie de terre
Infime connivence au cœur de nos tempêtes
L’amante reviendra rêver tout contre vous
Sa chaleur palpitante à portée de la main
Et l’objet turbulent de vos désirs farouches
Trouvera sa substance sur le blanc de vos draps
Je connais un poète, heureux de forniquer
Pour se sentir vivant et conscient d’exister
Brutale résistance au cœur de nos dilemmes
L'amant se fout des convenances
Sa ferveur insolente divisant les esprits
Et l'objet fascinant de vos plaisirs charnels
Trouvera l'éloquence sur le blanc de vos pages
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