Sans issue
J’ai beau parler d’amour
Les mots ricochent
Et me reviennent
Imprégnés de silence
Inutiles bagages
Vidés de tout leur sens
Quand personne n’est là
Pour étendre les bras
Et que dure l’absence
Les mots battent de l’aile
Avant de s’écraser
Sur le bord de mes lèvres
Ils ont un goût amer
Comme l’indifférence
J’ai beau parler d’amour
Le temps est à l’orage
Quelque part un naufrage
Un appel au secours
Mais je suis étrangère
A la vie qui se joue
Et je reste plantée
Sans pouvoir faire un pas
Seule et abandonnée
Sur la grève assombrie
Où gisent les débris
Ridicules éclats
D’un rêve inabouti
décembre 2015
Les mots ricochent
Et me reviennent
Imprégnés de silence
Inutiles bagages
Vidés de tout leur sens
Quand personne n’est là
Pour étendre les bras
Et que dure l’absence
Les mots battent de l’aile
Avant de s’écraser
Sur le bord de mes lèvres
Ils ont un goût amer
Comme l’indifférence
J’ai beau parler d’amour
Le temps est à l’orage
Quelque part un naufrage
Un appel au secours
Mais je suis étrangère
A la vie qui se joue
Et je reste plantée
Sans pouvoir faire un pas
Seule et abandonnée
Sur la grève assombrie
Où gisent les débris
Ridicules éclats
D’un rêve inabouti
décembre 2015
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