Presque rien
D’un monde parallèle
J’entrouvre une fenêtre
Pour contempler le doux
L’infiniment petit
Je découvre un destin
Que j’avais ignoré
Jusqu'à cet aujourd'hui
Sur un bout de hasard
Un coin de nulle part
Ce n'était presque rien
Poussière dans le vent
Un détail anodin
Porté par le courant
Le printemps a rougi
Dans une envolée d'ailes
J'ai soudain ressenti
Le souffle d'un matin
Sur la fleur épanouie
Une portion congrue
Sur un chemin de vie
J’entrouvre une fenêtre
Pour contempler le doux
L’infiniment petit
Je découvre un destin
Que j’avais ignoré
Jusqu'à cet aujourd'hui
Sur un bout de hasard
Un coin de nulle part
Ce n'était presque rien
Poussière dans le vent
Un détail anodin
Porté par le courant
Le printemps a rougi
Dans une envolée d'ailes
J'ai soudain ressenti
Le souffle d'un matin
Sur la fleur épanouie
Une portion congrue
Sur un chemin de vie
Commentaires
Enregistrer un commentaire