Tous les collages sont des créations uniques réalisées sur différents supports à partir de photos originales. D'autres matériaux peuvent être utilisés de manière ponctuelle comme pour la série Parcelles. contact: eden.copyright@gmail.com Détail collage 41x33 cm Collage sur carton entoilé 33x41cm Collage sur carton entoilé 41x33 cm Collage sur carton entoilé 41x33 cm Collage sur carton entoilé 33x41 cm Collage sur carton entoilé 41x33 cm Collage sur carton entoilé, 60x50 cm Deux collages support carton mousse 50x65 cm Série Blue experience collage sur carton entoilé, 50x65 cm Vers le printemps, série Mosaïque collages 20x20 cm et 10x10 cm collage sur carton entoilé, 35x24 cm collages sur carton entoilé, 33x41 cm, 20x20 cm et 8x10 cm collages sur contreplaqué 60x39 cm, 20x23 cm et carton entoilé 10x10 cm collage sur carton entoilé 41x33 cm collages sur carton entoilé 33x41cm et 20x20 cm collage sur carton entoilé, 33x41 cm Série Mosaïque collages sur carton entoilé 10x10cm Premier
Cultivons sans répit nos mondes intérieurs où viennent s’abreuver des rêves égarés. Ils passent par milliers les tristes nuits d’hiver puis s'en vont au matin, à peine rassasiés en longeant les murs gris. Apprenons la patience, la douce déshérence au gré d’un aparté. D’une folle lumière qui viendrait traverser les parois redoutables d’un petit quant-à-soi. Un apprivoisement dans l’espace dédié. Un pourquoi résolu. Une valeur commune. Lui donner consistance et matérialité. Mon kaléidoscope à portée de tes yeux Creusons la vérité. Ne pas se contenter du froid des apparences. Du goût de l’insipide. En nous, des différences et la diversité. L’éternelle richesse de nos vies qui se meuvent sans bruit dans le simple ordinaire. Déclenchons la révolte, engrangeons d’un regard, la multiplicité. Je t’ouvre cette porte que je gardais fermée A l’intérieur de l’enveloppe, une autre dimension, un champ hors du commun où tout peut se produire. Le meilleur ou le pire. La vie prend du
Quand j’aurai relaté L’effondrement des choses Quelle sera ton empreinte Au bout du bout du conte ? Tandis que je vais voir Ailleurs si tu y es A la marge, j’ai mis Tout ce qui me manquait juin 2018
Ecrire pour découvrir La vraie portée des mots Lorsqu’ils s’élancent sur la page Transgressant les lignes interdites Pour aller à la marge Là où tout est possible Expression des non-dits Liberté des sens Au creux de l’encrier Mer de Chine Où flottent les idées L’esprit chavire à n’en plus finir Ecume imaginaire Les histoires se font et se défont Bouillonnante mémoire Où les lettres s’alignent Donnant à chaque pensée Un corps, une opulence Sa propre vérité Ecrire sans s’arrêter Tant que la terre est ronde Et que le jour se lève Clair et rassurant Pour regarder le monde A travers son prisme permanent Ecrire pour exister Tant qu’il y aura de l’encre A puiser dans le ciel Pour dire et parcourir Des espaces encore vierges Plages offertes en devenir Rien n’est plus beau Qu’une page blanche
Une douceur aimée s’immisce et nous surprend tandis que tout là-haut, passent les oies sauvages. Mais quel jour sommes-nous, de quel mois, quelle année ? Je traîne dans tes pas, musarde encore un peu et t’invite en balade au soleil de ma vie. Une vague tendresse nous mène à l’endroit où le temps s'est dissolu. Mais quel âge avions-nous quand tout a commencé ? Parfois j’ai l’impression que les saisons s’embrouillent. novembre 2018
Les heures s’entrechoquent, se brisent et se dispersent. Le temps se précipite et mon cœur s’accélère. Au bord de la rupture, je vais me réfugier au centre de moi-même. A l’endroit où m’attend une paix intérieure, un espace accompli, un jardin idéal. Quelque chose de pur émanant de la toile, une douce atmosphère aux pouvoirs bienfaisants. Je m’offre le bonheur d’un arrêt sur image, la cristallisation d’une pensée choisie. Fragile et délicate. Intime et capitale. juin 2017
Pourquoi pas … Le détail oublié ? C'est lui qui nous regarde Est-ce petit, est-ce grand ? Aucune proportion, une idée simple Tout simplement Nos nuits sont gorgées de rosée Et nos matins humides alimentent l’histoire Joli prétexte pour ne pas sombrer Dans le sombre des sombres Idées noires en suspens Et la nature m’observe mars 2014
Le dernier oiseau bleu s’ébrouait sous la pluie. Il nous fallut partir. Au risque de se perdre. J’ai enfilé ton rire comme un collier de perles et scellé d’un baiser l’embrasure de tes lèvres afin que rien ne gèle. Et là je t’ai promis d’apprendre le langage qu’on n’oublie jamais. Pour quand je reviendrai. janvier 2018
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