Lumière
Sous la chape du ciel, les voix sont étouffées
Les oiseaux sont plombés
Les nuages figés s’attardent sur mon front
Absorbant la couleur d’un rêve qui s’éteint
Et sombre dans le gris d’un matin assassin
Mes mots ne portent plus
Ils sont lourds de chagrin et du poids de l’ambiance
L’écho s’est écrasé comme un ange abattu
Des plumes ont volé
Je me fraie un passage entre deux lettres mortes
Aux tristes conséquences
Je conjure le temps en ouvrant mes paupières
Sur un autre présent
Dans une autre atmosphère
Je souffle sur les cendres
Un présage s’envole
Je regarde frémir ses ailes de papier
Là-bas une lumière
Et le jaune des blés qui dansent dans le vent
Sous un ciel insolent
Un bleu exubérant
Dénué de poussière
mars 2017
Les oiseaux sont plombés
Les nuages figés s’attardent sur mon front
Absorbant la couleur d’un rêve qui s’éteint
Et sombre dans le gris d’un matin assassin
Mes mots ne portent plus
Ils sont lourds de chagrin et du poids de l’ambiance
L’écho s’est écrasé comme un ange abattu
Des plumes ont volé
Je me fraie un passage entre deux lettres mortes
Aux tristes conséquences
Je conjure le temps en ouvrant mes paupières
Sur un autre présent
Dans une autre atmosphère
Je souffle sur les cendres
Un présage s’envole
Je regarde frémir ses ailes de papier
Là-bas une lumière
Et le jaune des blés qui dansent dans le vent
Sous un ciel insolent
Un bleu exubérant
Dénué de poussière
mars 2017
Commentaires
Enregistrer un commentaire