Brumes
La forêt embuée
L’arbre déshabillé
Ecouter sans pleurer
Venir du fond de soi
La rumeur de l’automne
L’oiseau se recroqueville
Sous un rayon blafard
Mon regard s’amenuise
L’horizon est si près
L’herbe ne pousse plus
Les champs sont terres mortes
Goutte à goutte du temps
Ma peau perd peu à peu
L’empreinte chaleureuse
Des symphonies florales
Je réprime un frisson
Alors que je voudrais
La maison grande ouverte
Le bleu à ma portée
La marée d’équinoxe
La montée de la sève
L’ébullition des corps
Le sol couvert de blé
L’odeur de ton parfum
La cadence d’un pouls
Le ciel transfiguré
L’impatience du jour
Quand le soleil éclate
Sur le chat endormi
octobre 2017
L’arbre déshabillé
Ecouter sans pleurer
Venir du fond de soi
La rumeur de l’automne
L’oiseau se recroqueville
Sous un rayon blafard
Mon regard s’amenuise
L’horizon est si près
L’herbe ne pousse plus
Les champs sont terres mortes
Goutte à goutte du temps
Ma peau perd peu à peu
L’empreinte chaleureuse
Des symphonies florales
Je réprime un frisson
Alors que je voudrais
La maison grande ouverte
Le bleu à ma portée
La marée d’équinoxe
La montée de la sève
L’ébullition des corps
Le sol couvert de blé
L’odeur de ton parfum
La cadence d’un pouls
Le ciel transfiguré
L’impatience du jour
Quand le soleil éclate
Sur le chat endormi
octobre 2017
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