Mirage


Le temps démaquillé par le geste d’après. Une suite à donner pour ne pas s’enfoncer sous le poids du silence. 
La parole immédiate et nous, dans la clarté d’une ode matinale. 
Que s’infiltre la vie sous nos paupières closes.

Je n’entends plus la mort rôder.
Nos mondes face à face et l’envie de cogner tout contre ta conscience.
Que se meuvent les mots quand s’abaissent les armes. 
Toutes les nuits, au bout du rêve, j’ai cru te posséder.

février 2018


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