Fantômes
La lumière flottait, diffuse et compromise
Le silence planait sur le jour atrophié
J’ai cherché de mes mots, la ligne d’horizon
Et j’ai trouvé les tiens sous les feux du hasard
Le fil était ténu mais je n’ai rien lâché
Le soleil expirait ses dernières lueurs
L’imprévu s’est glissé dans un rêve ébauché
Je t’ai imaginé loin des sentiers battus
Dans le prisme idéal d’un regard étoilé.
Parfois cette rumeur qui vient d’on ne sait où
Je discerne une voix qui chuchote et m’appelle
La nuit, j’entends des pas craquer sur le plancher.
Le silence planait sur le jour atrophié
J’ai cherché de mes mots, la ligne d’horizon
Et j’ai trouvé les tiens sous les feux du hasard
Le fil était ténu mais je n’ai rien lâché
Le soleil expirait ses dernières lueurs
L’imprévu s’est glissé dans un rêve ébauché
Je t’ai imaginé loin des sentiers battus
Dans le prisme idéal d’un regard étoilé.
Parfois cette rumeur qui vient d’on ne sait où
Je discerne une voix qui chuchote et m’appelle
La nuit, j’entends des pas craquer sur le plancher.
avril 2018
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