Aller vers


Je ne redoute plus
Ni l’acier ni le froid 
Ni les pavés glissants 
Ni les prisons dorées
Ni le tableau trop noir
Par-delà les néons
Qui tremblent dans la nuit
J’entends une musique
Nimbée de ce temps-là
Quand le ciel en terrasse
Me souhaitait bienvenue

Je libère les mots
Qui me collent au palais
Entrouvre une autre cage
Celle où l’on m’a cloitrée
Infiniment depuis
Le ventre de ma mère 
Et toi, comment vas-tu ?
Ecris-moi s’il te plaît
Quelque chose d’inné
Et je te répondrai 
Le temps d’un paysage
Où j’aurai un trajet

septembre 2018


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Galerie évolutive ....

Je t'ouvre cette porte

Détail

Ecrire

Errance

Figement

Why not ?

Les souffleurs

Hors chant/ Silence 2