Les beaux jours
Une reconnaissance au plus profond de soi
Sur le coteau brulant
La vigne fructifiait
Le chemin s’écrivait au rythme de nos voix
Les mots prenaient partout
Reprisaient nos absences
En contre-bas naissait
L’esquisse d’un courant
Contemplation du jour
Nous avions tout le temps
Celui que l’on modèle
Qu’on presse entre les doigts
La Garonne traînait
Dans le regard des gens
J’en étais imbibée
La vie nous propulsait
Ailleurs et surtout là
Où le ciel éclatait
Un bleu si pénétrant
Le fleuve était tranquille
Le château s’élevait à hauteur d’une trêve
Nous sommes allés vers
Une même embouchure
On a bu à l'endroit où le figuier poussait
Sur le trottoir ému
Une femme dansait
juillet 2018
Sur le coteau brulant
La vigne fructifiait
Le chemin s’écrivait au rythme de nos voix
Les mots prenaient partout
Reprisaient nos absences
En contre-bas naissait
L’esquisse d’un courant
Contemplation du jour
Nous avions tout le temps
Celui que l’on modèle
Qu’on presse entre les doigts
La Garonne traînait
Dans le regard des gens
J’en étais imbibée
La vie nous propulsait
Ailleurs et surtout là
Où le ciel éclatait
Un bleu si pénétrant
Le fleuve était tranquille
Le château s’élevait à hauteur d’une trêve
Nous sommes allés vers
Une même embouchure
On a bu à l'endroit où le figuier poussait
Sur le trottoir ému
Une femme dansait
juillet 2018
Commentaires
Enregistrer un commentaire