Racines


L’aurore balbutiait entre les hautes branches
Mais c’était très confus 
Le ciel était chargé d’empreintes volatiles
Où dérivaient des âmes en quête d’inconnu
Toujours en décalage
Tant de bruit pour si peu brouillait les évidences
J’étais si bien ici 
A écouter les arbres aux mille et une voix
A respirer la terre et l’odeur de l’humus
Va, cours 
Et fais un bon voyage
On se verra là-haut quand tout sera fini

septembre 2018


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